Description
Le Pastis Henri Bardouin
4 maîtres, 1 grand cru le Pastis fait main
Au creux des Mourres, dans les territoires sauvages aux mille senteurs qui entourent Forcalquier, cueilleur, macérateur,
distillateur et liquoriste travaillent sans relâche pour donner naissance année après année à ce pastis d’exception.
Le Pastis Grand Cru Henri Bardouin est un apéritif fait main d’exception.
Né de la rencontre entre l’Homme et la Nature, il porte en lui l’histoire des terres de Haute Provence et le secret d’un héritage ancestral. Intemporel et indémodable, il invite à un voyage sensoriel riche et résolument actuel.
4 GRANDS MOMENTS DE FABRICATION
Sentir que l’heure de la cueillette est venue, ouvrir une cuve porteuse de tous les arômes de la plante qui y a macéré, stopper l’alambic à l’instant où le distillat est prêt, goûter le pastis et sourire car il est enfin parfait… Tels sont les moments cruciaux pour nos 4 maîtres, et pour la fabrication du Pastis Henri Bardouin.
lemoment propice.
SÉBASTIEN, notre maître cueilleur
Lorsque la rosée s’évapore, juste après que l’humidité se libère de sa dernière goutte,
juste avant que le soleil ne réchauffe la terre, la cueillette de Sébastien peut commencer.
Il est celui qui sait reconnaître
Le moment de vérité
HÉLÈNE, notre maître liquoriste
Pendant quelques secondes, le temps reste suspendu aux lèvres d’Hélène.
On attend le verdict. Le moment où ses paupières se ferment puis se réouvrent avec une lueur approbatrice au fond de l’oeil.
Ce moment de vérité qui décidera si le Pastis Henri Bardouin est enfin prêt.
le moment décisif
YVES, notre maître distillateur
Chaque degré compte pour Yves. La température monte, vite.
Exercer le bon geste lorsque le distillat a déployé tous ses arômes et avant que ceux ci ne s’échappent :
c’est le moment décisif qui permettra d’obtenir la note juste, celle qui fera la différence.
Le moment tant attendu
LUCIE, notre maître macérateur
1 442 heures de repos.
Ni plus ni moins.
Il est temps pour Lucie de filtrer. Avant, les arômes restent endormis.
Après, ils sont trop forts.
Lucie veille sur ses cuves de macération jusqu’au moment tant attendu où elles seront réouvertes.
